Et tu fut le premier a entrer dans mes rêves....
--> Les Visions Existent....L'Unique Vision de ma Vie fut....Lui....
Une soirée chez des amis. Un Gamin, d'a peine 5 ans. Et des rires, des dessins, des histoires pour se faire peur. Et ton nom. Inoubliable tellement il était fort. Toi, rien que toi. Jamais il n'avait vu ton visage mais déja il en avait peur. Revenir à la maison. Il se fait tard. Emporter les dessins avec soi. Mais oui, oui pour le souvenir. Un pullover Rouge, un visage brulé a souhait aux couleurs douteuses. Des Gosses. Le noir se fait enfin. Il croyait pouvoir dormir, en paix. Les yeux ne se ferment pas, impossible. Quelque chose l'en empeche. Il se tourne a droite, a gauche, voudrait crier a tous les Saints de venir à son aide. Rien, le silence lui répond. Seul ami dans ce moment d'indiscible horreur. Droite Gauche. Ne pas ouvrir les yeux. Surtout pas. Prendre une peluche, la serrer tres fort contre soi, la mettre sous la couverture et prier. Prier comme c'est pas permis. Prier pour que passe la nuit, cette satanée Nuit. Rien n'y fait. Sueurs, tremblements. Impossible de bouger. Le regard apeuré il voit devant ses yeux ce visage hideux apparaitre. Et cette main qui transperce doucement, juste là, derrière ce nuage de brume. L'haleine, si près que l'on pourrait la sentir. Et la gorge nouée, pétrifié dans ce lit devenu si petit. Ce deux place qui pourrait donner la vie donne la mort des rêves et fait naitre l'horreur même. Toi. Toi tu étais là. Aussi réel et aussi horrible que dans....mais ce ne sont que de putains de films!! Tu ne peux pas exister! Tu n'existe pas! Tu n'es qu'une image! Une putain d'image!! Un acteur! Facile a dire. Le cerveau est lobotomisé. Fermé, il voit comme ces yeux cet être immonde venir à l'enfant qui n'avait rien demandé. Et il ne se bat plus. Les larmes coulent. Papa, Maman! Dans un regain de courage l'enfant court dans la chambre de ses parents, à l'autre bout de l'appartement. Des kilometres pour un esprit affolé. Et il les reveille en sursaut. Au secour! Maman là là là!! Ici!! L'enfant désigne d'un doit tremblant, les larmes transparentes coulant de son visage, le plafond de sa chambre. Immaculément Blanc. Déséspérément Blanc. Mais il était là!! Maman!! Là sur ce plafond blanc comme un écran, un écran de cinéma. Et des pleurs. Encore Toujours. A jamais gravés en lui.
Le temps a passé. Tu fais désormais parti des premières lignes d'un livre qui ne sortira peut etre jamais. Mais tu es là, et je te redonne rendez-vous, comme à mes 5 ans, comme au bon vieux temps, quand tu pouvais me faire peur. De tes films je n'ai rien vu. Sinon que des extraits. Je t'attends. Je suis prêt. Allez, viens...Viens Ordure....
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Churos
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Et aller chez le psy tu y as pensé ? lol
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Le félin Félé
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Ta remarque est ridicule...je n'y répondrais pas...
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à 12:33